Le Parlement libanais n’a pas réussi à élire Joseph Aoun, le commandant en chef de l’armée, à la présidence du pays au premier tour d’examen. Bien qu’il soit un candidat de premier plan, Aoun n’a pas obtenu la majorité des deux niveaux requis pour remporter l’élection.
Cette évolution prolonge l’impasse politique au Liban, qui a laissé la présidence vacante pendant plusieurs mois. Le pays reste divisé sur des lignes politiques et confessionnelles, ce qui complique les efforts pour parvenir à un consensus.